lundi 25 juillet 2016

Il est difficile d'oublier...

« Il est difficile d'oublier tant que l'on a de la mémoire. »
-> Claude Lelouch, dans "Itinéraire d'un enfant gâté".

samedi 16 juillet 2016

BLADI, Souad MASSI, « Arrêtez de faire la guerre... »

Une magnifique chanson de Souad MASSI tristement d'actualité...


Traduction :

Mon pays, là où j'ai vécu et grandi 
Mon pays, là où j'ai pris conscience 
Mon pays, là où j'ai aimé tant de choses 
Mon pays, combien de fois ai-je pleuré pour toi 

La Terre est devenue un enfer 
Le feu a brûlé le printemps 
Arrêtez de faire la guerre 
Vous faites la guerre à des enfants 

Il n'en restera que la vérité 

Mon pays, ton état déchire les cœurs 
Mon pays, tu as défié les extrêmes
Mon pays, du feu il ne restera que des cendres 
Mon pays, il ne restera que des pierres dans le fleuve. 
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dimanche 10 juillet 2016

Mais où est-ce donc ?...

Devinerez-vous le nom de cette ville en regardant ces photos prises hier soir à la nuit tombante ? Je m'y trouvais vendredi et samedi pour une occasion spéciale. Ceux qui sont au courant, chuutt... laissez chercher un peu les autres (sourire). Cette ville, que je ne connaissais que très peu, m'a conquise définitivement...



Je vous mets la photo ci-dessous pour vous aider (peut-être) un peu. Les deux premiers clichés ont été faits du haut de la colline où se trouve cette croix qui s'illumine dès la tombée de la nuit et que l'on peut voir d'en bas.


Et celle-ci devrait aussi vous aider :


Je peux vous dire aussi que j'y suis allée pour assister entre autres à un Festival de rue...
Alors, avez-vous trouvé ? Ou faut-il que je vous donne d'autres indices ?...

Allez, je vous donne la réponse. Il s'agit de la ville de MENDE qui se situe en Lozère !
Merci à vous d'avoir joué le jeu, et bravo à ceux qui ont trouvé ! :-)
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dimanche 3 juillet 2016

Le syndrome du gisant

Je viens de finir de lire un ouvrage passionnant sur « Le syndrome du gisant : un subtil enfant de remplacement ». Dans toutes les familles, ou presque, on peut trouver des "gisants". Je suis peut-être une gisante, vous êtes peut-être un gisant, une gisante...
Je vous laisse lire le résumé ci-dessous, et regarder la vidéo (elle ne dure que 11 mns). Le docteur Salomon Sellam explique très simplement de quoi il s'agit. Prenez le temps, c'est très intéressant.

« Le syndrome du gisant, un subtil enfant de remplacement », du Dr Salomon Sellam.
Quatrième de couverture :
« Notre première mort est biologique. Notre cœur s'arrête. Notre cerveau dépose ses armes. Notre âme prend ses bagages. Nos omoplates se déploient et nous reprenons notre vol. Notre seconde mort survient ensuite, plus ou moins vite, au moment où plus personne ne pense à nous. La tombe n'est plus fleurie, les herbes folles envahissent progressivement notre "suite". Seule et pendant de longues années, demeure gravée dans le marbre, notre identité de locataire terrien notre nom, notre prénom, notre date de naissance et celle de notre départ. Quelquefois, avant cet oubli définitif, les personnes, concernées par notre décès trop prématuré ou source de souffrance, entretiennent notre mémoire à l'aide d'une date, d'un prénom. Notre mémoire, en attente, restera encore reliée à la terre. Puis, un enfant va naître. A son insu, en possède-t-il une partie ? Peut-être ? Dans ce cas, malgré nous, nous vivrons encore, par l'intermédiaire de son corps, de sa voix et de sa pensée. Pour le clan, rassuré, la relève est assurée... »
- « La mise en évidence, preuves à l'appui, de la mise en route d'une Dynamique Automatique de Réparation Transgénérationnelle à la suite d'un drame familial à type de décès ressenti comme trop prématuré, "non admis", injustifié/injustifiable et ses répercussions généalogiques sur plusieurs générations pouvant aboutir à des conséquences médicales, psychologiques ou psychiatriques. »