Traduction :
Mon pays, là où j'ai vécu et grandi
Mon pays, là où j'ai pris conscience
Mon pays, là où j'ai aimé tant de choses
Mon pays, combien de fois ai-je pleuré pour toi
La Terre est devenue un enfer
Le feu a brûlé le printemps
Arrêtez de faire la guerre
Vous faites la guerre à des enfants
Il n'en restera que la vérité
Mon pays, ton état déchire les cœurs
Mon pays, tu as défié les extrêmes
Mon pays, du feu il ne restera que des cendres
Mon pays, il ne restera que des pierres dans le fleuve.
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Quand la terre brûle, les ailes s'enflamment, et les esprits chevauchent la poésie.
RépondreSupprimerMerci Françoise pour ces très jolis paroles.
Supprimervous faites la guerre à des enfants...
au passage j'ai une douce et tendre pensée pour toi. Je suis en train de lire "Cherche la femme " et mon orchidée s'est mise à refleurir... je t'embrasse.
- Bizak : Merci à toi. Bisous.
Supprimer- El Linda : Tu lis "Cherche la femme" ? tu me diras ce que tu en auras pensé. Je suis heureuse que ton orchidée refleurisse. :-)
Bisous.
Savez-vous que cette chanson a été inspirée par un évènement sanglant ? Lors d'une commémoration officielle, des enfants ont été déchiquetés par une gerbe piégée qu'ils étaient en train de déposer au pied d'un monument durant la décennie noire.
RépondreSupprimerNon, je ne le savais pas, M.Danielle, merci de me l'apprendre, je comprends ainsi encore mieux les paroles de cette chanson.
SupprimerJ'adore.
RépondreSupprimerMerci Pascal.
SupprimerOui et bien ça peut s'appliquer au nôtre !
RépondreSupprimerOui, Lison. :-(
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